Pièce chorégraphique, adaptation du livre de Zam Ebale. Ce projet parle de la stigmatisation et du rejet sous toutes ses formes, que ces victimes soient albinos, LGBTQ, handicapés, femmes, ou autres. Ce projet est fortement inspiré du récit de l’auteur. En effet, Ebale Zam Martino est chorégraphe, danseur et chanteur, il se positionne aujourd’hui comme auteur d’un premier roman hybride « Né au mauvais endroit, au mauvais moment, dans le mauvais corps ? ».
Etam veut dire « Seul » en langue Bulu du Sud du Cameroun, dont le chorégraphe est originaire. Ce solo mêle la danse, le chant, la poésie et la vidéo. Il parle de la solitude qui peut pousser à s’appuyer sur la source créatrice émanant de la rage de vivre.
Lardée de coups de couteaux, laissée pour morte, elle survit par miracle. Ce n'est qu'après de longues recherches que sa famille la retrouve, amnésique, dans un institut psychiatrique. Elle recouvrera peu à peu la mémoire et le désir de vivre.
La rencontre entre deux hommes, deux parcours, deux danses, entre danse basque et danse afro contemporaine.
Spectacle de danse chorégraphié par Zam Martino EBALE sous la direction musicale de Laurent BLONDIAU
"Certains rituels dans le monde et notamment en Afrique se basent sur la pulsion qui naît du contact de l’humain avec la terre, cette pulsion génère un impact qui est à l’origine d’un mouvement.
Ce projet est accompagné musicalement par MÂÄK ELECTRO qui créera une musique s’inspirant de la pulsion vitale des danseurs générée par la musicalité de leur corps."
Un état qui existe en chacun de nous, il est provoqué par un facteur extérieur positif tel qu’un évènement, une personne aimée mais le plus important est d’être capable de faire surgir une joie durable malgré les problèmes de la vie.
14 chanteurs s'inspirant des polyphonie du Sud Cameroun
20 danseurs chorégraphié par Zam Ebale et de Ousmane Gansore
3 musiciens percussionnistes et 1 guitariste
Le spectacle Waiyrri est un duo co-chorégraphié et interprété par Zam Ebale et Ousman Gansore.
Ils sont accompagnés par le musicien, chanteur et comédien Souleyman Dankambari.
C'est une collaboration avec le réalisateur de film Federico Ariu qui signe également la mise en scène.
Projections vidéos en collaboration avec Alireza Rahmaniyan.
Ce spectacle alliée à la fois la danse contemporaine, la musique, la voix, le théâtre et la projection vidéo. Wayirri en langue mooré du Burkina Faso signifie le retour à la source.
Cette chorégraphie présentera le retour de deux initiés revenant de l'au-delà lors d'un rituel commémorant leur retour sur la place publique.
Leurs esprits seront invoqués par la psalmodie d'un maître de cérémonie qui sera représenté par un percussionniste chamanique. Ces deux initiés reviendront dans le monde des vivants afin de ramener un message d'espoir et d'éternité qui rappelle que la vie n'est qu'un cycle infini de naissance et de mort.
A notre époque où les rumeurs les plus folles tergiversent à propos de la fin du monde en se basant sur le calendrier maya et autres textes sacrés, nous pouvons constater un engouement généralisé pour l'univers du mystique. En Occident, certains s'adonnent de plus en plus à des pratiques dites paranormales comme l'Ayahuasca, rituel chamanique originaire d'Amérique du sud ou la constellation familiale, thérapie de groupe inspirée de l'éthnie Zoulou sud africaine. Et nombreux sont ceux qui y croient.
Troisième volet d'une trilogie sur la femme, après Eké, où vas-tu ? et Akouss ou la veuve, retrouvez le style si singulier d'Ebalé Zam, mêlant essence africaine et dynamique contemporaine, au coeur d'un récit porteur de sens. Un mariage au Sénégal. Une femme, seule, s'avance parmi une foule de citadins en tenue d'apparat traditionnel...
La cérémonie de mariage débute, mais elle est toujours seule et semble affronter courageusement son destin. Le mari, parti étudier en Europe, restera absent. C'est sa famille qui lui a choisi une femme. Elle ne le connaît donc pas, mais telle une madone soumise à sa coutume, elle vit néanmoins «le plus beau jour de sa vie».
Après la création de Temps véritable au Delvaux en , Ebalé Zam et sa troupe continuent à creuser la pluralité des points de vue, la perception du temps à travers les cultures pour apprendre à connaître l'autre et à l'aimer davantage. Dans cette nouvelle création, il éclate l'espace scénique, joue avec la limite entre l'acteur et le public, sa scénographie envahit l'ensemble de la salle et des lieux environnants. Avec des danseurs, comédiens et musiciens d'ici et d'ailleurs, en partenariat avec la Compagnie Lawazi du Burkina Faso.
Et si le 21ème siècle était celui de la femme ? Une femme qui affirme son identité propre, une femme qui assume et décide, une femme qui guide… Mais aussi une femme, source d'inspiration intarissable, comme elle l'a toujours été, et comme elle le reste et le restera sans doute toujours… Mais quelle source d'inspiration peut bien être la femme d'aujourd'hui ?
Et si la femme inspirait l'homme jusqu'à lui faire remettre son identité en question ?
Telle est la question que soulève la nouvelle création d'Ebalé Zam. Les relations entre hommes et femmes sont complexes.
L'Amitié est le quatorzième spectacle d'Ebale Zam. «Il retrace l'histoire d'une relation ambiguë entre deux hommes». A la limite du choquant, sous fond de gymnastique dansante et de gestuelles d'une qualité rare ; Ce nouveau spectacle est un amas de scènes aux interprétations diverses et sous d'autres cieux provocantes. "j'ai toujours aimé la provocation depuis le Cameroun. Ceci m'a parfois attiré des attaques" me confiait l'artiste. "c'est un moyen pour moi de passer des messages et de pousser les gens à se poser des questions"
"Temps véritable" s'impose un défi : montrer la pluralité des points de vues, la perception du temps à travers les cultures, ses variations... "Temps véritable" entre dans le regard de l'autre pour le comprendre, il entre dans la dimension temporelle de l'autre pour apprendre à le connaître, à le découvrir et à l'aimer davantage encore. Le temps peut être figé, fugace, évanescent, tantôt lent, tantôt rapide, il devient pulsion ou suspension, impact ou impulsion...
Dans les cultures traditionnelles, la femme est, par sa position dans la famille, la "gardienne de l'humanité". Elle est la détentrice d'un mystère, d'une énigme que l'homme a toujours voulu élucider, découvrir…et parfois contrôler. Dans "Femmes secrètes", la Femme prouve qu'elle n'est pas seulement un objet de désir mais qu'elle trouve en elle une force et un dynamisme dont elle seule détient le secret. Elle lutte de plus en plus pour sortir de ce mystère qui lui a été imposé et déploie toutes les merveilles dont elle est dotée pour briller au-delà des frontières que la société lui a imposées à travers l'Histoire
Telle une Reine des Ténèbres, la Veuve africaine va subir avec dignité toutes les épreuves de l' "Akouss". Cette cérémonie destinée aux veuves est un véritable rituel thérapeutique. Il faut exorciser la "Femme" de l'esprit de son défunt mari, qui hante son corps, afin de libérer l'âme du disparu et sauver la sienne... Comment va-t-elle le vivre ? Cette nouvelle chorégraphie de Ebalé Zam raconte le déroulement d'une cérémonie africaine avec un langage contemporain. L'objectif de la compagnie Nyanga Zam est de mener des recherches en associant au matériel africain une dynamique contemporaine afin de créer l'émergence d'une interculturalité.
"Eke?" trace l'histoire d'un homme à travers les différentes étapes de sa vie. Avec, en filigrane, le combat que tout être doit mener pour se libérer des contraintes qu'il se crée ou qu'on lui impose. La vie est un long voyage, mais où nous mène-t'il? De surprise en surprise, la chorégraphie de Ebale Zam, énergique et fluide, nous invite à y réfléchir. Il nous propose ainsi ce parcours initiatique imprégné de mouvement et d'émotion. Créé à Rosas Parts, pour plusieurs danseurs (voir ci-contre), "EKE?" a évolué vers un solo qui a été joué en première mondiale au festival "Monaco Dance Forum" en Décembre 2002. Sélectionné pour représenter la Belgique à ce show case international, Ebale Zam présente avec succès son solo qui sera par la suite acheté par le Centre Culturel des Riches-Claires de Bruxelles.
